23 juin 2017
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_solitudes
Articles
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solstice perdu et spectres nouveaux
23 juin 2017, par arnaud maïsetti -
dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
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« Où que je sois encore... | Seuil
25 février 2008, par arnaud maïsettiRécit
Seuil, coll. "déplacements"
mars 08 -
car rien n’a encore eu lieu
24 avril 2017, par arnaud maïsetti24 avril 2017
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la prise de la ville
4 mai 2018, par arnaud maïsettiLa pensée poétique [...] est l’ennemie de la patine et elle est perpétuellement en garde contre tout ce qui peut brûler de l’appréhender : c’est en cela qu’elle se distingue, par essence, de la pensée ordinaire. Pour rester ce qu’elle doit être, conductrice d’électricité mentale, il faut avant tout qu’elle se charge en milieu isolé. André Breton, Arcane 17, 1945 Bob Dylan, Visions Of Johanna (Belfast 6 May 66)
Dans les cafés et dans les bars, dans les rues et partout je vais toujours à la recherche d’une (...) -
Simulacres de croix
10 septembre 2011, par arnaud maïsetti17 photographies de ciel, sur fond de croix
été 2011 -
pour être purs quelque part
13 avril 2011, par arnaud maïsettiIn My Room (The Last Shadow Puppets, ’The Age Of The Understatement’, 2008)
Écrire, et comme respirer ta vieille odeur insipide de gouffre, surprendre l’étincelle dans ta fourrure horripilée de louve… écrire l’aigreur de la soif… nous récoltons la fange, ici, la fange basse, pour être purs quelque part. une écriture initiale, obscène, agonique — qui se précipite, sans hâte, à sa seule sauvagerie…
Jacques Dupin, Ballast (extrait de ’Fragmes’, in Échancré, 1991)
Le rythme, cela commence au troisième coup — (...) -
racines mouvantes
16 août 2011, par arnaud maïsettiFuneral Canticle (John Tavener - repris dans The Tree Of Life )
Toute théorie est grise, mais vert florissant est l’arbre de la vie.
Johann Wolfgang von Goethe
Racines mouvantes – indémaillables.
C’est une vision d’origine et pourtant : rien qui ne soit passé, achevé, impossible à rejoindre. Une radicalité immobile devant laquelle aucun signe, aucun mot, seulement tenir face, et baisser la garde. Seulement tenir, seulement : et demeurer ainsi, désarmé.
Un je ne sois quoi d’ailleurs, sur lequel (...) -
le ciel, vu d’ici
4 janvier 2017, par arnaud maïsetti4 janvier, ombres
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quoi qu’il advienne
16 janvier 2019, par arnaud maïsetti16 janvier 2019
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que notre force excède notre malheur
11 mars 2019, par arnaud maïsetti11 mars 2019
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adresse #4 | à l’absente
17 juin 2010, par arnaud maïsetti« je suis dans la ville / ce qui t’encombre »
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La Chute des corps #4
28 novembre 2008, par arnaud maïsettiNous avons cherché si longtemps / Depuis si longtemps cherché les formules
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quelques liqueurs d’or
18 septembre 2018, par arnaud maïsetti18 septembre 2018
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pas même la pluie
10 janvier 2011, par arnaud maïsettiLonesome Road Blues (Old Crow Medicine Show) Il passe de l’eau sur son visage Et la laisse sécher L’eau se relève comme un voile léger Comme un visage qui disparaît fragment après fragment
Que d’absence
Abbas Beydoun (Tombe de verre, trad. Bernard Noël, 2007)
Je me retournerais bien, si j’avais le corps pour cela, et ce que je verrais de la route dessinée par mes pas aura comme le tracé donné par un homme jeune encore, qui ne sait pas son âge, et qui se perd, et qui ouvre les yeux.
Maintenant je (...) -
adresse #5 | au nom de
9 juillet 2010, par arnaud maïsetti« tu me dirais ton nom et je ne le répèterai pas… »
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Le Client #13 | « Eh bien je vous propose l’égalité. »
12 août 2013par risque, par espérance, par distraction, par hasard.
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Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
3 août 2013, par arnaud maïsettiet le goût de désirer, et l’idée d’un désir
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Le Client #5 | « Qu’espérez-vous tirez de moi ? »
2 août 2013, par arnaud maïsettiil est inquiétant d’être caressé quand on devrait être battu.
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Mahigan Lepage | Des usages du monde
30 janvier 2011, par arnaud maïsettiMahigan Lepage, La Science des Lichens, publie.net – janvier 2011