Nicolas Vsévolodovitch se tut pendant trois minutes.
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Articles
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Dostoïevski | « La vie existe et la mort n’existe pas »
9 décembre 2011, par arnaud maïsetti -
Rimbaud, une vie | Délires. Suites et fin
10 novembre, par arnaud maïsettiChapitre I
Rêves et agonies -
André Breton | Plutôt la vie
23 avril 2017, par arnaud maïsettises draps conjuratoires
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Jean Genet | Violence et brutalité
1er décembre 2018, par arnaud maïsettiviolence et vie sont à peu près synonymes
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Bob Dylan (& co) | « Boots of Spanish leather »
13 mai 2017, par arnaud maïsettipourquoi
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Koltès | l’autre part de sa vie
2 mai 2009, par arnaud maïsettiLecture des correspondances de Koltès – mai 2009
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horizons battus
12 juillet 2011, par arnaud maïsettiCamden Road (Shack, « … Here’s Tom with the weather », 2003)
« Mais dans cette étrange période de l’amour, l’individuel prend quelque chose de si profond, que cette curiosité qu’il sentait s’éveiller en lui à l’égard des moindres occupations d’une femme, c’était celle qu’il avait eue autrefois pour l’Histoire. Et tout ce dont il aurait eu honte jusqu’ici, espionner devant une fenêtre, qui sait ? demain peut-être, faire parler habilement les indifférents, soudoyer les domestiques, écouter aux portes, ne lui (...) -
André Breton | Cet événement (du travail comme valeur morale)
6 févrierextrait de Nadja
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une espèce d’œil double
13 avril 2010, par arnaud maïsettiDans le reflet de la vitre placée en face du comptoir des Caves Populaires, ce matin, beaucoup de passage : les mêmes silhouettes, les mêmes conversations au-dessus des cafés — rester en retrait m’abstrait totalement du lieu, et personne ne me voit au bout d’une heure. Une heure encore, et je suis vraiment invisible ; un véritable souvenir.
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix anciennes
Vers onze heures, une jeune femme, étrangère, se présente auprès du patron : elle est (...) -
le point de sursaut et d’éveil
20 mars 2019, par arnaud maïsetti20 mars 2019
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Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
14 février 2014, par arnaud maïsettiPour me souvenir de ce jour, je n’ai rien d’autre : quelques images prises à la volée du ciel, en passant vite entre deux portes, deux heures, deux moments où la ville s’ouvre et où je m’engouffre, je crois que c’est cela : une brèche.
Je suis la brèche elle-même, et le mouvement en elle, et la force d’en retenir quelques fragrances, quelques épars dans l’étoilement des choses, la lapidation des regrets, et sur tout cela pèse comme le sentiment de ce qui passe, et ne reviendra plus, et pour cette raison (...) -
Bernard-Marie Koltès, une vie | le livre
1er février 2018, par arnaud maïsetti4ème de couverture
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des livres par dizaines
8 septembre 2014, par arnaud maïsettilistes des livres qui
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Écosystème numérique | écrire avec et dedans
19 avril 2017, par arnaud maïsetticarnets numériques
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Rimbaud, une vie | Prologue. L’inavouable désir
4 août 2016, par arnaud maïsettiPrologue. L’inavouable désir
Et l’impossible tâche -
Deleuze / Parnet | « S’affecter de joie »
5 juin 2019, par arnaud maïsettidialogues, 1977
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Plus de vivants que de morts | une carte
4 novembre 2013, par arnaud maïsettile temps réel des morts
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Germain Nouveau | Fin d’automne
16 novembre 2013, par arnaud maïsettiDéjà le cœur se serre, et, comme pour s’ouvrir,
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d’une vie bâtie comme un hôtel
4 juillet 2011, par arnaud maïsettiWritten On The Sky (Max Richeter, ‘The Blue Notebooks’, 2004)
Quand nous voulons vous voir avec des regards vides Quand nous ne voulons plus sourire Ni sangloter dans le ventre céleste Nos bras tournent grinçants dans les chambres de plomb La nuit de vérité nous coupe la parole
René Daumal (’Le Contre-Ciel’)
C’est une maison possible. Accrochée à trente mètres, on y vivrait peut-être. S’endormir, prier, manger quand on a le temps. Quand Marie Madeleine (dit la légende) a fini d’errer la solitude, c’est (...) -
légendes de mes corps morts (ciel noir d’images)
24 janvier 2014, par arnaud maïsetti(Puisque ces jours sont impossibles, qu’à courir après eux je n’ai le temps d’arracher un peu de temps qu’en silence, entre deux trajets, et c’est seulement là, dans un bus, un train, une marche d’un bout à l’autre de la ville, que je peux écrire, intérieurement, les pages que je n’écrirai jamais sur des pages, mais ces pages je les porte en moi davantage peut-être que celles que j’ai écrites, alors je l’accepte.
Au temps j’arrache quelques images dont je rêve la légende, silencieuse, qu’ici je dépose pour (...)