Didier Da Silva, La Mort de Masao, Marest éditeur, 2021
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_vies des morts
Articles
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Didier Da Silva | Sept hypothèses du deuil
26 mai 2021, par arnaud maïsetti -
Maître Eckhart : « Je prie Dieu de me libérer de Dieu ! »
23 avril 2019, par arnaud maïsettiEckhart von Hochheim, dit Maître Eckhart est né en1260 et son corps a achevé son aventure terrestre vers 1328. On dit qu’il fut le premier des mystiques rhénans. C’était surtout un homme qui étudia à Erfurt, Cologne et Paris avant de célébrer la messe à Cologne et Strasbourg. Sermon 52 Nous disons donc que l’homme doit être tellement pauvre
QU’IL NE SOIT PAS UN LIEU ET N’AIT PAS EN LUI UN LIEU OU DIEU PUISSE OPÉRER.
Tant que l’homme conserve encore en lui un lieu quelconque, il conserve aussi quelque (...) -
Ingeborg Bachmann | « Mon Oiseau »
19 janvier 2019, par arnaud maïsettiquoi qu’il advienne
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Rimbaud | vies imaginaires – #Délires, suites et fin
10 novembre 2020, par arnaud maïsettiChapitre 1
rêves et agonies -
le buste au livre
28 août 2013, par arnaud maïsettiPlace Saint-Georges, Paris – un buste, qui lit. Le même livre peut-être, la page est dense, elle est en pierre. L’homme qui lit lentement, lit. On ne sait pas qui c’est. Il lit toute la vie durant.
Tourner autour de l’homme qui lit ne le met guère en mouvement. On devine peu ce qu’il lit, aux fronts, aux yeux, aux plis du visage immuable. On sait qu’il lit à cause du livre, c’est tout. Le livre est tenu à pleine main, et lui, regarde-t-il ce qu’il lit (à force, il sait ce qu’il y a sur la page, le (...) -
ce navire à l’ancre
13 septembre 2011, par arnaud maïsettiCe navire à l’ancre tu peux couper la corde, à quoi sert-elle, quelles attaches, pour quels larges, les larges sont désirables tant qu’on les approche, une fois en eux, ce ne sont que des attaches de plus desquelles se défaire pour quels larges de nouveau — pensais-je alors dans ce milieu moite de la nuit noyée sous cette vie morte, absente, au pli régulier de la nuit où l’on respire sans s’apercevoir que l’on dort, finalement, moins d’épuisement que par habitude : et je me suis endormi, dans le (...)
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La Ville écrite | éphémère, désespoir pour l’éternité
9 décembre 2013, par arnaud maïsettije ne suis pas d’accord
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Jean Genet | Je suis des deux côtés
21 avril 2015, par arnaud maïsettiEntretien 1982
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Rabelais | « Après ma mort » (Ce qu’ils ont fait de lui)
29 juillet 2016, par arnaud maïsettiOn devrait pouvoir laisser les hommes dignes à titre posthume. À ceux qui écrivent et qui ont déposé sur quelques feuilles volantes la tâche de vivre, ne rien leur demander : seulement parfois se saisir des livres et fouiller en eux le courage de continuer notre propre temps. Mais non. Ce doit être plus fort que nous.
Chinon est un mausolée à la gloire du Grand Homme. Chaque pierre, chaque rue, chaque lampadaire voudrait en saluer l’aura, attirer ceux qu’on voudrait piéger entre les lampadaires, je (...) -
Rimbaud | trois photographies
20 mai 2019, par arnaud maïsettitenir en respect l’immobilité du présent
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Alain Bashung (Bataclan 2003) | « Sommes-nous la sécheresse, ou la vaillance »
18 novembre 2015, par arnaud maïsettisoyons le dernier coquelicot
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Angkor, Cambodia #1 | visages des vivants et des morts
16 janvier 2015, par arnaud maïsettià distance du temps
hiver 15 -
Des nouvelles de Proust | après le temps
20 février 2017, par arnaud maïsettil’ai-je bien descendu
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Rimbaud | à vendre, l’arme du crime
21 octobre 2016, par arnaud maïsettiNon, ce n’est pas un Browning : c’est un Lefaucheux, modèle 55, 7 mm à broche.
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Najaf | ville mausolée
12 août 2014, par arnaud maïsettile cimetière de Najaf : vues aériennes
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d’hiver, lumière et deuil
15 décembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, WInterlude On voit ces choses en passant (même si la main tremble un peu, si le cœur boite), et d’autres sous le même ciel : les courges rutilantes au jardin, qui sont comme les œufs du soleil, les fleurs couleur de vieillesse, violette. Cette lumière de fin d’été, si elle n’était que l’ombre d’une autre, éblouissante, j’en serais presque moins surpris.
Philippe Jaccottet, À la lumière d’hiver Oui, plus douce, plus diffuse : la lumière d’hiver ralentit dans l’air le temps qui passe et qu’il fait (...) -
Bernard-Marie Koltès | 15 avril, et peut-être l’éternité
15 avril 2022, par arnaud maïsettid’un quinze avril l’autre
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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Georges Bataille | Une vie, une œuvre, de Françoise Estèbe et Julie Beressi, 2012
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiémission de France Culture
16 juin 2012 -
cherche, appelle,
26 janvier 2015, par arnaud maïsettije ne le sais