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_aube
Articles
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Peter Handke | « Accorde-toi le soleil »
31 janvier 2019, par arnaud maïsetti -
racines mouvantes
16 août 2011, par arnaud maïsettiFuneral Canticle (John Tavener - repris dans The Tree Of Life )
Toute théorie est grise, mais vert florissant est l’arbre de la vie.
Johann Wolfgang von Goethe
Racines mouvantes – indémaillables.
C’est une vision d’origine et pourtant : rien qui ne soit passé, achevé, impossible à rejoindre. Une radicalité immobile devant laquelle aucun signe, aucun mot, seulement tenir face, et baisser la garde. Seulement tenir, seulement : et demeurer ainsi, désarmé.
Un je ne sois quoi d’ailleurs, sur lequel (...) -
Aubes | III. (Au réveil pour toujours)
27 février 2014, par arnaud maïsettitroisième chapitre
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un rêve #68 | en regard
25 janvier 2010, par arnaud maïsettiUn rêve : dans le silence, les pas qui s’approchent : je mesure mentalement la distance qui m’en sépare.
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Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
26 février 2014, par arnaud maïsettideuxième chapitre
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les lointains sont par trop loin
17 juin 2011, par arnaud maïsettiLe monde moderne La vitesse n’y peut mais Le monde moderne Les lointains sont par trop loin Et au bout du voyage c’est terrible d’être un homme avec une femme…
« Blaise, dis, sommes-nous bien loin de Montmartre ? »
Blaise Cendrars, Prose du Trassibérien
Dans Aix (il y a tant de fontaines que j’ai si soif tellement), marcher ne suffit pas pour éloigner la ville. Elle est si petite. Je la trouve à chaque pas devant moi. En rentrant si tard, si tard qu’il était déjà le lendemain, je n’ai trouvé que de (...) -
vingt-neuf fois mille et une nuits
10 janvier 2012, par arnaud maïsettiJamais su où sur ma main la ligne de chance était gravée ; jamais pu reconnaître la couleur de mes yeux, entendu ma voix sans sursauter et me retourner, lâcher dans l’effroi : qui est là ; jamais su retrancher le nombre des morts en moi ; jamais entendu le bruit de l’eau de pluie tomber sur la plage en pleine nuit ; jamais vu non plus le sommet des toits dans Paris au coucher des soleils ; jamais montée plus haut que la cheville l’eau du Pacifique ; jamais eu froid à Montréal ; jamais levé la tête (...)
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solstice intérieur
22 décembre 2011, par arnaud maïsettiToi que la nuit constellée enfante en s’éteignant,
Au jour le plus court, moi terrassé de la ville, jette un dernier regard au dernier jour éclairé en moi du temps passé à l’épuiser – toujours au solstice d’hiver cette sensation en moi : rétraction de toutes choses au dedans du corps qui signe la concentration extrême du temps : chaque seconde éprouvée en son entier, oh si rare cette sensation, et de douleur, l’épuisement du temps, briser le sablier découlé accéléré comme si la peau était une main tendue (...) -
Lecture | Autour de ce que nous sommes
27 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture au Salon du Livre | 25 mars 2013
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Aubes | IV. (Chaque chose à sa place)
28 février 2014, par arnaud maïsettiquatrième chapitre
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Aubes | I. (L’aube est un grand mur)
23 février 2014, par arnaud maïsettipremier chapitre
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Gottfried Wilhelm Leibniz | « Il n’y a rien de mort dans l’univers »
24 février 2012, par arnaud maïsetti« Chaque portion de la matière peut être conçue comme un jardin »
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Aubes | Prologue
7 décembre 2013, par arnaud maïsettiet quand vint le jour,
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Aube mouvante
27 mai 2011, par arnaud maïsettiquelque part entre Bordeaux et Angoulême
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l’art de dormir
18 octobre 2011, par arnaud maïsettiDormir est un art impossible. Aussi ancien qu’impossible. Moi, j’y ai renoncé. Depuis longtemps, et chaque soir davantage. Hier, par exemple. Toute la nuit, impossible à trouver, le sommeil. Quelque part pourtant, oui, ici ou là. Sous le bras, le corps, le désir entier de lui céder. Mais la fuite du sommeil en moi, je l’ai ressentie aussi, un peu comme le sang tombe, comme tout ce qui tombe quand la fatigue fauche et que le premier mouvement la trahit. Finalement, au bout de ces peurs qui irriguent (...)
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Aubes | XIII. (Le théâtre est vide)
9 mars 2014, par arnaud maïsettitreizième chapitre
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(le vent des cygnes rouges)
6 janvier 2012, par arnaud maïsettile vent tombait sur moi comme de la nuit
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au silence qui lui est propre
13 avril 2014, par arnaud maïsettitout effacer
s’éloigner -
Wiliam Blake | « Introduction »
26 avril 2020, par arnaud maïsettiécoutez la voix du Barde
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Aubes | XIV. (Berlin)
16 mars 2014, par arnaud maïsettiquatorzième chapitre