La Nuit… de Boutté / Fontana
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_joie & douleur
Articles
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Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsetti -
William Blake | « Introduction »
9 juin 2013, par arnaud maïsettiTandis qu’il pleurait en m’écoutant de toute sa joie
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Keren Ann | Les jours heureux
21 mars 2019, par arnaud maïsettiCe qui distingue le rêve du passé
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Dominique A. | Revenir au monde
25 avril 2013, par arnaud maïsettifais moi revenir
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La Ville écrite | Violet
8 mars 2016, par arnaud maïsettile contrôle des rues de Marseille
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Jonas Mekas | pour ça que tu vis
26 mars 2019, par arnaud maïsettin’es-tu jamais heureuse ?
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Rimbaud | à vendre, l’arme du crime
21 octobre 2016, par arnaud maïsettiNon, ce n’est pas un Browning : c’est un Lefaucheux, modèle 55, 7 mm à broche.
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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le geste de Diogène (accepter)
1er novembre 2013, par arnaud maïsetti« La seule vertu, sous les latitudes forestières, c’est l’acceptation. »
(Sylvain Tesson) On raconte — c’est parce qu’on ne sait pas vraiment — que Diogène souvent s’arrêtait face à une statue à Athènes, et toute la journée immobile tendait la main : on lui disait : mais que fais-tu ; il répondait, avec sa voix que j’imagine terrible et douce : j’apprends le refus.
On raconte — et sans doute on invente — que Diogène ainsi retournait le regard des passants ; aujourd’hui, on croit Diogène s’exposer par avance (...) -
tendre visage
19 janvier 2019, par arnaud maïsetti19 janvier 2019
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[Tondi] | avoir part à l’ombre
8 avril 2013, par arnaud maïsettiavoir part au danger
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lumière & folie (reprendre possession du désir)
9 octobre 2013, par arnaud maïsettiPlace Albertas, sa centralité dissymétrique, fascinante. Je ne passerai jamais ici sans lever les yeux et m’arrêter. Décision prise de prendre une image à chaque fois (il faudra que je me force pour ne pas faire le détour, et m’y arrêter chaque jour) (je ne me forcerai pas). L’ouverture du quatrième mur à l’endroit où je suis, les murs lépreux au fond, et la densité de la lumière. Je chercherai toujours dans la vie des lieux qui sont à la vie-même des raisons de lui appartenir, des énigmes qui dévisagent, (...)
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Avignon, journal de l’épuisement : et du ravage
21 juillet 2015, par arnaud maïsettiAvignon est partout, une ville comme on voudrait la fuir et comme à chaque pas on la rencontre et sait lui appartenir pour relever d’elle : à la butée de ses murailles, trouver son ombre qui glisse contre elles et dessine sur leur peau l’inappartenance qui la fonde. Alors participer malgré soi de son absurde vacuité, de sa vitalité impossible – et puis partout depuis deux semaines maintenant une chaleur qui écrase et ralentit, rend le sommeil introuvable et le matin épuisé. On cherche les mots qui (...)
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F. Pessoa | « jamais je ne dors »
5 avril 2013, par arnaud maïsettiLe Livre de l’Intranquillité
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les aubes pas encore mortes
1er janvier 2019, par arnaud maïsetti1er janvier 2019
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Max Richter | November
11 octobre 2013, par arnaud maïsettinovembre est éternel
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Blaise Cendrars | La Prose du Transsibérien
8 septembre 2014, par arnaud maïsettisommes-nous si loin
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qui vint à ma rencontre
24 août 2018, par arnaud maïsetti24 août 2018
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nuit semaine mois : prêts à vivre
25 juillet 2016, par arnaud maïsettiDe retour, mais d’où ; et vers quoi ? Rideau sur Avignon : Marseille semble abandonnée. D’une rue à l’autre, personne. La chaleur qui monte n’appartient qu’à l’entre-deux sans raison d’une pliure : au pli de l’année, ces mois de juillet et d’août ralentis par la chaleur, et il faut passer au-dessus de ces jours aussi.
Garder la haine des bilans comme antidote : pas de regard arrière. Et pourtant, reviennent par flux ces trois semaines passés. Sur scène, ces clins d’œil à l’actualité qui tiennent lieu « (...) -
Christine & The Queens | Les Paradis perdus
4 juin 2014, par arnaud maïsettij’essaie de me rappeler encore une fois