La Nuit… de Boutté / Fontana
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_joie & douleur
Articles
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Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsetti -
William Blake | « L’écho de la verdure »
28 juin 2013, par arnaud maïsettiLe soleil se lève,
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à distance, écrire à l’ombre de soi-même
28 janvier 2018, par arnaud maïsettiDonne lui un homme et du temps, il en fait un cadavre, puis il le rejette sur ses bords. Il le gonfle puis il le rejette. Lui demeure
H. Michaux, « L’étang », À distance, date inconnue Yann Tiersen, « Porz Goret » (Eusa, 2016)
À distance, mais de quel siècle, et vers quel siècle s’avancer pour que ce jour revienne où ce serait possible, enfin, que le jour soit à sa place. Jour où rien ne passe que du vent et de tout son long ne fait rejoindre que de la terre, jour où il n’y a rien que des villes et (...) -
qui vint à ma rencontre
24 août 2018, par arnaud maïsetti24 août 2018
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Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, la ville
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La Ville écrite | Violet
8 mars 2016, par arnaud maïsettile contrôle des rues de Marseille
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Hong Sang-Soo | Grass (풀잎들)
11 janvier 2019, par arnaud maïsettiLa vie pousse par le milieu
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Avignon, journal de l’épuisement : et du ravage
21 juillet 2015, par arnaud maïsettiAvignon est partout, une ville comme on voudrait la fuir et comme à chaque pas on la rencontre et sait lui appartenir pour relever d’elle : à la butée de ses murailles, trouver son ombre qui glisse contre elles et dessine sur leur peau l’inappartenance qui la fonde. Alors participer malgré soi de son absurde vacuité, de sa vitalité impossible – et puis partout depuis deux semaines maintenant une chaleur qui écrase et ralentit, rend le sommeil introuvable et le matin épuisé. On cherche les mots qui (...)
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faire continuer le monde (les cris psalmodiés dans les rires)
21 juillet 2013, par arnaud maïsettiAu fond, hors de l’image, à gauche (à jardin) : un type fait des tours, c’est une tradition depuis si longtemps – clown public, mime, amuseur de galerie –, il y a en cercle qui le regardent plus de trois cent personnes, peut-être plus — c’est qu’au pied du Palais des Papes, une heure avant le spectacle, il y a foule ici, oui, désœuvrée, qui attend, prête déjà pour le spectacle et puisqu’on lui en donne un (qu’elle n’attendait pas), et pour lequel elle n’a pas payé, elle est là, et comme le type fait le (...)
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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la trajectoire amoureuse (après la dévastation)
7 décembre 2013, par arnaud maïsettiPeut-être les gouffres d’azur, des puits de feu. C’est peut-être sur ces plans que se rencontrent lunes et comètes, mers et fables.
Rimb., Vies
chemin. Toute voie qu’on peut parcourir pour aller d’un lieu à un autre. Se détourner de son chemin. Un chemin facile. Enseigner, montrer à quelqu’un son chemin.
La nuit dernière est pleine de souffle, tant qu’elle appelle à ce qu’on s’y mêle et qu’on n’en parle plus — les vents d’ici, je ne les savais pas (je connaissais la couleur de l’herbe l’été, brûlée), ni (...) -
Topor | la déchirure vive
19 janvier 2019, par arnaud maïsettientre terre et ciel
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avec le soleil
2 septembre 2014, par arnaud maïsettiOn lui a découpé dans le derrière de la tête un morceau de crâne affectant la forme d’un segment. Avec le soleil, le monde entier regarde à l’intérieur. Cela le rend nerveux, le distrait de son travail et il se fâche de devoir, lui précisément, être exclu du spectacle.
Ce fragment dans la tête, ce matin ; et à l’aube, vérifier que c’était bien cela : que ce fragment, sa précision d’image, était bien cette page dans le journal de Kafka — mais peu importe. Au contraire, il y avait la douleur précise. J’écris (...) -
Pierre Michon | « le miracle »
1er décembre 2013, par arnaud maïsettile verbe pur et la lumière
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F. Pessoa | « jamais je ne dors »
5 avril 2013, par arnaud maïsettiLe Livre de l’Intranquillité
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Bob Dylan et le Nobel | « Carelessness… »
14 octobre 2016, par arnaud maïsettipolitique de la négligence
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que notre force excède notre malheur
11 mars 2019, par arnaud maïsetti11 mars 2019
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Blaise Cendrars | La Prose du Transsibérien
8 septembre 2014, par arnaud maïsettisommes-nous si loin
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La Ville écrite | éphémère, désespoir pour l’éternité
9 décembre 2013, par arnaud maïsettije ne suis pas d’accord
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ce qui tient lieu de royaume (la voix d’Eurydice)
25 février 2013, par arnaud maïsettiaire d’autoroute, près de Valmy, samedi (2000ème image du site)
c’est mille manières de se taire, et l’écran de la machine qui soudain ne s’allume plus depuis une semaine en est une, imparable ; pendant une semaine, sans machine, sans rien pour écrire : se taire est une nouvelle langue ; mais ce n’est pas ce qui compte — ce qui importe est l’espace que cette langue ouvre, c’est où le silence vient, en soi, et c’est comment garder le silence auprès de soi ; il faut parfois le garder comme un enfant, (...)