Marseille, et Virgile
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _la mer, toujours recommencée
_la mer, toujours recommencée
Articles
-
Marseille | Et les feux éclipsés du grand astre du monde
19 février 2014, par arnaud maïsetti -
à l’envers du ciel
12 novembre 2014, par arnaud maïsettila mer de pointe rouge
-
Marseille | Ce toit tranquille (entre les tombes)
16 février 2014, par arnaud maïsettihiver 14
de la friche, la mer, la ville, la montagne -
Marseille | vues de la ville
22 décembre 2011, par arnaud maïsetti87 photos de Marseille
hiver 11 -
La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
7 juillet 2011, par arnaud maïsettiÀ une lettre près, peut-être
-
La Ville écrite | à la porte
27 octobre 2012, par arnaud maïsettila porte des soupirs
-
le cri du vent
22 avril 2013, par arnaud maïsettiil y a beaucoup de mer et beaucoup de bruit
-
derniers feux, premières vagues
3 janvier 2018, par arnaud maïsetti2 janvier 2018
-
Montredon | au Bain des Dames
10 mars 2017, par arnaud maïsettice qui s’achève et ce qui recommence
-
Respiration #2 | au bord
21 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Pointe Rouge
-
VIDÉO | par grand vent
9 janvier 2019, par arnaud maïsettile tremblé de ces jours
-
Marseille | sud, sud-ouest
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiface à l’île Maire (et à tout ce qui m’entoure)
-
Marseille | ouest sud-ouest
[Mise à jour infinie]
17 mai 2018, par arnaud maïsettidepuis le promontoire de la ville
-
lève la tête
13 novembre 2011, par arnaud maïsettiAu Cap – fin du continent ; derrière moi, les anciens parapets : la Grande Russie, et le reste : je tourne le dos au Transsibérien, et derrière encore, l’Asie, les Montagnes, la Muraille de Chine qui n’arrête rien. Je tourne le dos à tout cela. Ici, je fais face : prochaines stations New York, Montréal, Duluth, Managua ; mais le train à cette heure bloqué ici pour cette vie qui vient mourir jusqu’au pied des vagues, échouées.
Longtemps, devant la mer, c’était la forme des vagues, la morsure sur le (...) -
pleure la ville
29 octobre 2011, par arnaud maïsettià celle qui pleure cette Ville qui ne s’arrête jamais, pauvre brisé bat le pavé encore ivre de son sort
à celle qui dit je pleure
à celui qui pleure la veille de la nuit veillée comme une amante, une sœur de charité, une mélodie tremblée à la bougie sous l’orage
pleure la ville quand je suis seul qui reste à la veiller, et que sa respiration ne suffit pas, ne suffit jamais
pleure avec la ville cette manière qu’elle a de disparaître dans la nuit, ainsi
pleure la ville comme une immense brasse coulée et (...) -
des portes sans battants
5 janvier 2019, par arnaud maïsettiDimension qui distend, qui augmente, qui en largeur s’étend, m’étend. Qu’est-ce qui arrive, qui dérive, musique qui me bague, qui me baigne. La tête pleine d’aubes, j’avance poussant des portes sans battants.
Plus de lassitude. Arc-en-ciel de merveilles. C’es si beau le renouveau : le matin pense de partout. Est-ce possible ? Est-ce vrai ? Le mal, l’inquiétant, l’interminable mal, une nappe, une invisible nappe l’a fait disparaître.
Félicité ! Je n’ai plus à descendre. Arrivée, une nouvelle arrivée. (...) -
Valparaiso (& Dominique A) | Marais Hautes
16 juin 2017, par arnaud maïsettiLe mot est une légende, une image
-
devant de plus faibles encore
11 avril 2020, par arnaud maïsetti11 avril 2020
-
où tout plonge, abandonne-toi
7 avril 2015, par arnaud maïsettiÉcoute en abandon et le son et l’ombre du son dans la conque de la mer où tout plonge.
Victor Segalen
Cette pensée : qu’on ne pense pas assez à l’abandon ; on l’imagine comme renoncer au mouvement, ou plutôt se laisser emporter par sa propre faiblesse – cette image aperçue hier à l’écran, un skieur dévale la pente, poursuivie par une avalanche, il tombe, se redresse, peut repartir, regarde derrière lui, voit la furie de la neige le rejoindre, et la regarde une seconde de trop peut-être, ou est-ce la (...) -
[Tondi] | Eh non
2 janvier 2014, par arnaud maïsettiévidemment,