18 septembre 2018
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_solitudes
Articles
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quelques liqueurs d’or
18 septembre 2018, par arnaud maïsetti -
tenir le fil
22 mai 2019, par arnaud maïsetti22 mai 2019
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« Des choses qui me rongent la nuit »
9 mars 2010, par arnaud maïsettiNotes sur les vies d’Aragon
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Loin d’Avignon, chronique anachronique
7 juillet 2015, par arnaud maïsettien attendant
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La Ville écrite | il faut se plaindre
3 juin 2019, par arnaud maïsettiEst-ce contre un homme que se porte ma plainte ?
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Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
3 août 2013, par arnaud maïsettiet le goût de désirer, et l’idée d’un désir
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Message to Bears | You are a Memory
27 juin 2017, par arnaud maïsettitu es un souvenir
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orgueil du silence
25 août 2011, par arnaud maïsettiMary of Silence (Mazzy Star, ’So Tonight That I Might See’, 1993)
Help me walk with you, / To the sky that we see / Shuddering in myself, in-my-self
Il n’y a pas de solitude orgueilleuse parce qu’il n’y a pas d’orgueil solitaire. L’orgueil ne peut vivre que s’il gît sous la présence (ou l’absence, qui est encore une présence tant que quelqu’un est là pour la constater, la nommer) de regards, même imaginaires ; ce sont les visages qui rendent orgueilleux et qui soulèvent le pauvre orgueil (…) -
Le Client #4 | « Vous êtes un bandit trop étrange »
1er août 2013, par arnaud maïsettije suis l’étranger qui ne connaît pas la langue
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Ingmar Bergman | Dévisager le regard
16 avril 2010, par arnaud maïsetti« une image-affection c’est le gros plan et le gros plan c’est le visage. » Deleuze
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apprendre à dire malesh
18 décembre 2017, par arnaud maïsetti18 décembre 2017
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adresse #7 | à ton ombre
23 juillet 2010, par arnaud maïsetti« Ton ombre devant moi s’est étalée toute »
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ces jours présents
4 mars 2020, par arnaud maïsetti4 mars
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Paris dans Hanoi le soir
9 octobre 2017, par arnaud maïsettiPeut-être me direz-vous : « Es-tu sûr que cette légende soit la vraie ? » Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis ? Baudelaire, « Les fenêtres », Petits poèmes en prose, 1869.
Angel Olsen, « Windows », (Burn Your Fire for No Witness, 2014
Paris : en coup de vent, comme on dit. D’une ville à l’autre, je perds dix degrés et le mistral. Ici, c’est de nouveau les grandes rues larges, la noirceur rapide (…) -
afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
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le ciel, vu d’ici
4 janvier 2017, par arnaud maïsetti4 janvier, ombres
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la tentation de l’abandon
21 août 2018, par arnaud maïsetti21 août 2018
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Charlotte Gainsbourg | Rest
19 novembre 2017, par arnaud maïsettireste avec moi
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Le Client #2 | « Cependant je n’ai pas, pour vous plaire, de désirs illicites. »
16 juillet 2013, par arnaud maïsettiKoltès, Dans la Solitude des champs de coton
Deuxième réplique du client -
Écriture (numérique) du corps
17 février 2010, par arnaud maïsettiÉcrire sur ordinateur ; enjeux, fins, et expériences
