C’est le lieu de la ville : le lieu de la rencontre et de l’écoute des signes arbitrairement laissés par les autres.
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _ville
_ville
Articles
-
Lieu | à chacun sa rue Vilin #3
28 décembre 2016, par arnaud maïsetti -
Les villes qui n’existent pas | Tombouctou
23 septembre 2017, par arnaud maïsettila terre, l’or, la boue et la cendre
-
Les villes qui n’existent pas | Villages Potemkine
30 décembre 2017, par arnaud maïsettifaçades de villes
-
La Ville écrite | Mordre
30 décembre 2016, par arnaud maïsettion ne mordra jamais assez
-
romantisme du confinement et privilège de classe
18 mars 2020, par arnaud maïsetti18 mars
-
Les villes qui n’existent pas | Détroit
11 septembre 2017, par arnaud maïsettihistoire de fantômes
-
Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, la ville
-
tendresse pour la sauvagerie
30 mars 2015, par arnaud maïsettiEt le printemps m’a apporté l’affreux rire de l’idiot. Rimb.
Le temps est à l’heure – c’est à cela qu’on le reconnaît. Une heure soudain retranchée au jour ou accrue d’un supplément d’âme ; le ciel partout maintenant, mais c’est à cause du vent – depuis quatre jours désormais. Sur le visage et dans le corps, au fond de soi comme aux terminaisons des branches, quelque chose qui renverse le cours des choses. C’est naître, mais c’est après. C’est une fois que tout est terminé (terminée la terre noire et blanche, (...) -
Les villes qui n’existent pas | Byblos
24 décembre 2018, par arnaud maïsettidépôts des oublis
-
afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
-
Hypothèse #3 | de quelqu’un
19 avril 2019, par arnaud maïsettiJe lis, sur le mur virtuel d’une amie, ceci
-
comme si la clarté ne valait pas le vague
24 juin 2020, par arnaud maïsetti24 juin
-
VIDÉO | Les cris de la ville
12 juin 2016, par arnaud maïsettiAu loin
-
au coucher de soleil (comme une harmonie)
25 août 2013, par arnaud maïsettiDe telles matinées sont réelles, si l’on veut. Mais on y a cette exaltation où la moindre beauté nous grise et nous donne presque, quoique la réalité habituellement ne puisse pas le faire, un plaisir de rêve. La couleur juste de chaque chose vous émeut comme une harmonie, on a envie de pleurer de voir que les roses sont roses ou, si c’est l’hiver, de voir sur les troncs des arbres de belles couleurs vertes presque réfléchissantes, et si un peu de lumière vient toucher ces couleurs, comme par exemple au (...)
-
les pages arrachées en miroir
9 juillet 2014, par arnaud maïsettic’est une idée ; prendre un livre, au hasard dans la bibliothèque bientôt vide, en arracher une page, la jeter au sol ; attendre que quelqu’un se penche pour s’y lire : le lac regarde Narcisse bien avant sa venue, c’est vrai. Une page arrachée en miroir
sur le trottoir : une page d’un livre qui ne se trouve pas dans ma bibliothèque ; une histoire d’avion qui déchire les brumes de Terre Neuve, il y est question d’un type à retrouver ; une histoire de Bob Morane en quête d’on ne saura jamais. Et (...) -
laisser le monde derrière soi
11 décembre 2012, par arnaud maïsettide Cour-Saint-Émilion à Bercy… et de Bercy à Gare de Lyon
-
la ville est un sas (et la lumière)
8 septembre 2012, par arnaud maïsettiEntre le bureau et le bureau, la ville est ce sas. Tous les matins, vers 9h, puis le soir, quand le soleil tombe, il est 19h, être seulement dehors celui qui croit qu’il n’est plus dedans. On a comme cela, de ces ruses. Pour tromper qui ? Quand je me retournerai sur ces mois (cela finira bien par arriver), il me restera peut-être ces marches par dessus tout, quand il s’agit de faire le vide : en fait, le vide se fait tout seul. Même plus besoin de musique. Sortir dans le vide de soi. Voir (...)
-
Marseille | République en carton (grave)
7 avril 2016, par arnaud maïsettirue de la République en carton
-
Marseille appartient à celui qui vient du large
29 juin 2020, par arnaud maïsettion votait hier
-
autoportrait à la transparence des corps
3 mai 2013, par arnaud maïsetticontours