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_Marseille
Articles
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Autoportrait au mur
22 juin 2019, par arnaud maïsetti -
ce qui fait brèche dans le cours réglé du désastre
21 avril 2017, par arnaud maïsetti21 avril
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Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Frontières (cultiver le sel) #2
5 mars 2016, par arnaud maïsettiLes frontières n’existent pas
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La Ville écrite | mourir à Marseille
24 août 2018, par arnaud maïsettiet vivre
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l’éclipse de l’équinoxe
20 mars 2015, par arnaud maïsettiC’est à huit heures dans le ciel mat comme du lait répandu sur le sol – mais rien ne sert de pleurer sur du lait renversé – le jour entièrement là déjà et rien qui ne permet de le voir. Déjà il faut tirer leçon : commencer les heures comme si le temps aura lieu.
Neuf heure quarante-et-un.
Le travail à la table, écran ouvert, livres à main gauche, et à droite, rien ; j’apprends des vies qui inventent leurs vies qu’elles sont inexemplaires, chaque jour de chaque mois, de chaque année qui se brise sur ce qui (...) -
La Ville écrite | Violet
8 mars 2016, par arnaud maïsettile contrôle des rues de Marseille
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Passage Mc Kay : Marseille, le poète, le migrant et l’oubli
18 juin 2015, par arnaud maïsettiIf we must die, let it not be like hogs Hunted and penned in an inglorious spot, While round us bark the mad and hungry dogs, Making their mock at our accurséd lot. If we must die, O let us nobly die, So that our precious blood may not be shed In vain ; then even the monsters we defy Shall be constrained to honor us though dead ! O, kinsmen ! we must meet the common foe ! Though far outnumbered let us show us brave, And for their thousand blows deal one death-blow ! What though before us (...)
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ces jours présents
4 mars 2020, par arnaud maïsetti4 mars
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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Obscénité des visages
19 février 2020, par arnaud maïsettiaffiches électorales, disent-ils
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La Ville écrite | tièdasse
29 août 2016, par arnaud maïsettirentrée
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Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiRien n’est précaire comme vivre
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d’une semaine l’autre : trains, correspondances et autres départs
16 octobre 2017, par arnaud maïsettiIl fallait à Persée pour poursuivre les monstres une capuche de nuages. Cette capuche nous nous la sommes tirée sur les yeux et les oreilles, pour pouvoir faire comme si les monstres n’existaient pas. [/Karl Marx, « Préface à la première édition allemande », dans Le Capital./] The Clash, « Train In Vain » (The London Calling, 1979)
D’une semaine l’autre, rien qu’un passage qui voudrait seulement trouver les endroits de passage plus denses et rapides, ceux qui conduisent d’ici à là-bas – le dimanche, (...) -
Nuit Debout | Marseille
8 avril 2016, par arnaud maïsetti36 mars
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La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
30 avril 2015, par arnaud maïsettile temps du rêve
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Nos bras s’écarteraient-ils si nous tournions sur nous-mêmes dans un univers vide
18 avril 2018, par arnaud maïsettiUne expérience de pensée en physique, tout le monde voit à peu près ce que c’est : un petit laboratoire mental, un protocole intuitif qui permet de tester des hypothèses autrement inatteignables. Si la pomme pénétrait à travers la Terre, ne décrirait-elle pas autour de celle-ci une ellipse écrasée dont l’orbite de la Lune n’est que la version dépliée ? Si nos pieds touchent le sol d’un ascenseur est-ce parce que la Terre nous attire ou parce que celui-ci accélère ? Nos bras s’écarteraient-ils si nous (...)
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dans notre propre main la volonté, ce fouet
23 avril 2020, par arnaud maïsetti23 avril 2020
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ne serait-ce qu’implorer son rêve,
22 avril 2020, par arnaud maïsetti22 avril 2020
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Avant-Scène | Autour de La Mouette, de T. Ostermeier (La Criée, Marseille)
10 octobre 2016, par arnaud maïsettiTREPLEV – Des formes nouvelles, voilà ce qu’il nous faut, et s’il n’y en a pas, alors mieux vaut rien du tout. (Il consulte sa montre.) La Mouette, de Tchékhov, mis en scène par Thomas Ostermeier, à Marseille du 12 au 14 octobre – belle occasion d’engager le dialogue avec un travail qui s’impose, depuis plus de dix ans, comme un geste d’envergure pour penser le présent et s’y frotter.
TREPLEV, sans chapeau, portant un fusil et une mouette morte. – Vous êtes seule ? NINA – Oui. (Treplev dépose la (...) -
car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020