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_Marseille
Articles
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Marseille appartient à celui qui vient du large
29 juin 2020, par arnaud maïsetti -
Obscénité des visages
19 février 2020, par arnaud maïsettiaffiches électorales, disent-ils
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Pour une critique barricade | Lettre à l’Insensé
1er juin 2019, par arnaud maïsettiArticle publié dans La Critique, un art de la rencontre, Presses Universitaires de Provence – juin 2019.
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« La surface des choses »
2 février 2015, par arnaud maïsetticadavres de sapins
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la tombe de Jean Genet
14 avril 2016, par arnaud maïsetti[/Mais si je ne sais rien de précis sur la Mort D’avoir tant parlé d’elle et sur le mode grave Elle doit vivre en moi pour surgir sans effort Au moindre de mes mots s’écouler de ma bave.
Jean Genet, Le Condamné à mort/]
Je marchais vers la tombe de Jean Genet : je la savais seule au milieu d’un champ, tout au bord de la mer et tournée vers la Mecque, c’est tout. Je marchais vers la tombe de Jean Genet sans raison et sans peine ; je voulais seulement arriver avant le soleil, je veux dire : avant la (...) -
Thomas Ostermeier | L’illusion d’un théâtre à prétention politique
25 novembre 2019, par arnaud maïsettiRetour à Reims, de Didier Éribon, mise en scène par Thomas Ostermeier [Marseille, La Criée] – octobre 2019
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Marseille | nord sud est ouest
13 juin, par arnaud maïsettiRose des vents
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Pièce audiophonique | Événements, de D.-G. Gabily
22 décembre 2019, par arnaud maïsetti2019
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Rimbaud | vies imaginaires – #Délires, suites et fin
10 novembre 2020, par arnaud maïsettiChapitre 1
rêves et agonies -
l’axe manquant de la ville
2 juin 2016, par arnaud maïsetti2 juin
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être exclu du spectacle
17 avril 2020, par arnaud maïsetti17 avril 2020
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Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiPour la beauté du geste ; pour toutes les jungles dont le nom sert à nommer des villes sans nom ; pour ceux qui les peuplent ; pour l’étrangeté de nature comme une essentielle relation au monde et aux autres ; pour la simplicité des départs ; pour l’évidence des arrivées qui appellent d’autres étrangetés, d’autres ailleurs ; pour la violence de partir, et celle d’arriver ; pour la légèreté d’être dans le vent simplement du vent, ce soir, tandis qu’on chasse des étrangers pour la raison qu’ils le sont.
Image (...) -
Marseille | Ce toit tranquille (entre les tombes)
16 février 2014, par arnaud maïsettihiver 14
de la friche, la mer, la ville, la montagne -
La Ville écrite | ce mardi 15 juin 1981
24 avril 2018, par arnaud maïsettiJacques
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La Ville écrite | Terminus Solitude
24 octobre 2017, par arnaud maïsettiligne quarante
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The National | Light Years
15 mai 2019, par arnaud maïsettiaway from you
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à présent, comment serait-ce possible ?
13 mai 2021, par arnaud maïsetti13 mai 2021
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les voltigeurs et puis quoi
1er mai 2019, par arnaud maïsettiAu reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
Rabelais, Garg. I, 23.
On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups qu’on donne (...) -
Marseille | les docks, façade ville
18 mars 2015, par arnaud maïsetti22 images des entrepôts
fin de l’hiver, Marseille -
La Ville écrite | liberté d’expression
26 mai 2019, par arnaud maïsettiles mots manquent