Les frontières n’existent pas
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_Marseille
Articles
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Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Frontières (cultiver le sel) #2
5 mars 2016, par arnaud maïsetti -
Instincts primaires | Jour d’élections, disent-ils
27 novembre 2016, par arnaud maïsettipiège à
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La Ville écrite | Queer-anarco (squatters)
7 février 2016, par arnaud maïsettimort au cadastre
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ce n’est pas la pluie
26 novembre 2018, par arnaud maïsetti26 novembre 2018
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va, débrouille la nuit
8 avril 2016, par arnaud maïsettiDans ce monde de plus en plus impossible – mais dont l’impossibilité même nous donne tant d’espoir, celui du soulèvement, des déchirures enfin possibles qui nous le rendront habitable –, la suite des jours n’en finit pas d’être hasardeuse, les perspectives comme lointaines. Tant mieux : c’est aussi la joie de ce moment, de ce printemps : l’invention soudaine chaque jour d’un moment. Tous les jours, suivre les forces vives qui s’assemblent et inventent le présent au nom de l’avenir, sur les (…)
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légendes de mes corps morts (ciel noir d’images)
24 janvier 2014, par arnaud maïsetti(Puisque ces jours sont impossibles, qu’à courir après eux je n’ai le temps d’arracher un peu de temps qu’en silence, entre deux trajets, et c’est seulement là, dans un bus, un train, une marche d’un bout à l’autre de la ville, que je peux écrire, intérieurement, les pages que je n’écrirai jamais sur des pages, mais ces pages je les porte en moi davantage peut-être que celles que j’ai écrites, alors je l’accepte.
Au temps j’arrache quelques images dont je rêve la légende, silencieuse, (…) -
la tombe de Jean Genet
14 avril 2016, par arnaud maïsetti[/Mais si je ne sais rien de précis sur la Mort D’avoir tant parlé d’elle et sur le mode grave Elle doit vivre en moi pour surgir sans effort Au moindre de mes mots s’écouler de ma bave.
Jean Genet, Le Condamné à mort/]
Je marchais vers la tombe de Jean Genet : je la savais seule au milieu d’un champ, tout au bord de la mer et tournée vers la Mecque, c’est tout. Je marchais vers la tombe de Jean Genet sans raison et sans peine ; je voulais seulement arriver avant le soleil, je veux dire (…) -
se regarder comme quelque chose d’étranger
20 avril 2020, par arnaud maïsetti20 avril 2020
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Marseille | Et les feux éclipsés du grand astre du monde
19 février 2014, par arnaud maïsettiMarseille, et Virgile
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plus que tout
30 décembre 2014, par arnaud maïsettimais
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rêve des conjurations
5 avril 2020, par arnaud maïsetti5 avril 2020
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ramper hors de la porcherie en ruine
16 avril 2020, par arnaud maïsetti16 avril 2020
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Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiRien n’est précaire comme vivre
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et exister et mourir
20 janvier 2019, par arnaud maïsetti20 janvier 2019
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La Ville écrite | Émeute toi
2 février 2018, par arnaud maïsettitoi-même
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le ciel, vu d’ici
4 janvier 2017, par arnaud maïsetti4 janvier, ombres
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les pâles du « non »
27 février 2019, par arnaud maïsetti27 Janvier 2019
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à travers les laideurs, belle la nuit qui demeure
8 décembre 2014, par arnaud maïsettiCe qu’il faut, […] c’est sentir comme on regarde, penser comme l’on marche, et, à l’article de la mort, se souvenir que le jour meurt, que le couchant est beau, et belle la nuit qui demeure... Pessoa, Le Gardeur de troupeaux et autres poèmes, trad. Armand Guibert, p.71, NRF — Poésie/Gallimard Descendre jusqu’au soir — la journée comme cette pente, en haut de Saint-Charles, qui laisse voir toute la ville coulée à nos pieds ; mais ce qu’on voit d’abord, c’est la colline où domine Notre-Dame, (…)
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perdre connaissance
11 juin 2022, par arnaud maïsetti11 juin 2022
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ces jours présents
4 mars 2020, par arnaud maïsetti4 mars