Tout autour, ils ont rasé les théâtres pour bâtir la Place.
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_ville
Articles
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Nuit & Jour, ZeitGeist | La Prise de la Place (de la République)
9 mai 2016, par arnaud maïsetti -
Paris 5e | fuir les murs
6 août 2014, par arnaud maïsettirue Tournefort
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[Tondi] | plusieurs garçons parmi les herbes folles
18 janvier 2013, par arnaud maïsettiqui cherchaient des champignons
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change le monde, il en a besoin
9 avril 2018, par arnaud maïsetti9 avril 2018
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cherche, appelle,
26 janvier 2015, par arnaud maïsettije ne le sais
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comme une danse de cosaque entre deux maisons
19 novembre 2016, par arnaud maïsettiThe Cinematic Orchestra, To Build a Home La création littéraire se refuse à moi. D’où mon plan d’enquêtes autobiographiques. Non biographie, mais recherche et découverte d’éléments aussi réduits que possible. C’est là-dessus que je m’édifierai ensuite, tout comme un homme dont la maison est branlante veut en construire une solide à côté, si possible en se servant des matériaux de la première. Ce qui est toutefois fâcheux, c’est que les forces lui manquent au beau milieu de la construction et que, au lieu (...)
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d’autres mots pour les dire
13 septembre 2017, par arnaud maïsetti13 septembre 2017
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comment respirent le ciel et le sable
6 avril 2014, par arnaud maïsettiLe désert, c’est le vide avec sa poussière. Au cœur de cet univers pulvérisé, dans son absence intolérable, seul le vide conserve sa présence ; non plus comme vide, mais comme respiration du ciel et du sable.
Jabès
si dans cette chair bouleversée qui est pourtant dans la continuité d’une vie singulière, je peux croire encore au ciel (vide), c’est à cause de la route — et du bouleversement à traverser, de la continuité à chercher, de la vie peut-être à inventer, je cherche les signes : elle est dans ma (...) -
en attendant le bateau (folie des assauts)
26 août 2013, par arnaud maïsettiIl n’y a que l’eau, les femmes et la mort, qui nous prennent dans notre nudité. Nous changent.
G. Perros
La rentrée comme une grande retraite au large. Dans les regards des gens, je le voyais, c’était aujourd’hui : aujourd’hui qu’on concéderait sa vie à la vie réelle. Me suis assis au même café, au même endroit, à la même table, repris la ligne là où je l’avais laissée hier, l’ai tirée là où je l’ai pu ce soir, là où je la reprendrai demain matin ; j’avais oublié qu’il pouvait faire froid.
Entendu, à la (...) -
Aubes | IV. (Chaque chose à sa place)
28 février 2014, par arnaud maïsettiquatrième chapitre
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[Tondi] | ensuite, une grande ville
16 avril 2013, par arnaud maïsettidont le nom est Méroé
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Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
26 février 2014, par arnaud maïsettideuxième chapitre
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La Ville écrite | l a r é v o l u t i o n v a i n c r a
16 octobre 2016, par arnaud maïsettil’histoire ne s’arrête pas
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Le Client #15 | « Je ne crains pas de me battre, »
14 août 2013, par arnaud maïsettiles règles que je ne connais pas
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Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
3 août 2013, par arnaud maïsettiet le goût de désirer, et l’idée d’un désir
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Le Client #5 | « Qu’espérez-vous tirez de moi ? »
2 août 2013, par arnaud maïsettiil est inquiétant d’être caressé quand on devrait être battu.
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La Ville écrite | à la porte
27 octobre 2012, par arnaud maïsettila porte des soupirs
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Le Client #18 (et fin) | « Alors, »
17 août 2013arme
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Le Client #11 | « Je ne suis pas de la race de ceux qui attaquent les premiers. »
8 août 2013, par arnaud maïsettije demande du temps
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Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
13 août 2013et qu’il obtiendra finalement