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_Marseille
Articles
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La Ville écrite | Je bois et puis je danse
1er juillet 2017, par arnaud maïsetti -
Jrnl | Est-ce ancienne sauvagerie qu’on pardonne
19 mai 2024, par arnaud maïsettiDimanche 19 mai 2024
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le tranchant de l’œil en éveil
2 août 2017, par arnaud maïsetti2 août 2017
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comme du commencement du monde à l’autre bout
9 janvier 2018, par arnaud maïsetti9 janvier 2018
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Jrnl | Alors que l’ombre peut tenir
5 mai 2024, par arnaud maïsettiDimanche 5 mai 2024
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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La Ville écrite | un mur propre
20 septembre 2017, par arnaud maïsettitiens
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regards au loin
16 novembre 2019, par arnaud maïsetti16 novembre 2019
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comme du passé en action
3 février 2015, par arnaud maïsettiToute la journée en attendant des nouvelles de la neige ; ici, quelques flocons suffisent à désorganiser le monde. C’est rassurant. Que quelques gouttes de glaces grippent la machine ; que l’ordre des choses défaillent quand du vent gelé surgit. Ici, c’est deux jours dans l’année, parfois un, parfois aucun. Quand cela arrive, les routes sont bloquées, les bâtiments publics évacués, le temps s’arrête le temps que dehors le temps passe et recouvre tout, quelques millimètres d’épaisseur et (…)
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VIDÉO | et si toujours la pluie
8 novembre 2019, par arnaud maïsettila pluie
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La Ville écrite | la nuit
19 décembre 2016, par arnaud maïsettirépandue sur le sol
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Respiration #1 | au pied de
17 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Massif de Marseilleveyre
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automne, loin des gens qui meurent sur les saisons
26 octobre 2015, par arnaud maïsettiDes feuilles comme des cadavres encore vifs. La ville et mon bureau en sont jonchés. Hier encore, c’était l’été étouffant ; écrire pour en finir. Et puis, maintenant ? De l’été, je possède encore la trace, plus qu’un souvenir, sa brûlure. Et des pages, rien, si peu. Ce matin, les feuilles qui recouvrent le sol sont des souvenirs perdus – comme des combats perdus – dessinent un chemin qui vient se perdre loin devant soi, vers l’hiver et les nuits longues, la morsure moins féroce du ciel. (…)
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la nuit n’est pas (ce que l’on croit)
25 mai 2019, par arnaud maïsettiAinsi ce doute éternel de l’immortalité de l’âme qui affecte les meilleurs esprits se trouvait résolu pour moi. Plus de mort, plus de tristesse, plus d’inquiétude. Ceux que j’aimais, parents, amis, me donnaient des signes certains de leur existence éternelle, et je n’étais plus séparé d’eux que par les heures du jour. J’attendais celles de la nuit dans une douce mélancolie.
Nerval, Aurélia
It’s almost like you’re not afraid of anything I do / How I want you here
You don’t know what (…) -
Marseille | prendre de la hauteur
4 août 2015, par arnaud maïsettiEt respirer, entre deux années, oh, acharné à les écrire, cette vie qui bat trop lentement la mesure de toute une vie, la ville d’ici ; et alors tant pis pour le ciel, tant pis pour la mer, et tant pis pour ce qui en bas passe et s’en va.
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écrire (dans) les entrailles de la vallée de Saint-Pons
30 juillet 2017, par arnaud maïsetti30 juillet 2017
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l’existence du terrible dans chaque parcelle de l’air
29 janvier 2017, par arnaud maïsetti29 janvier 2017
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La Ville écrite | réponses
21 juin 2017, par arnaud maïsettifaire entendre
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bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
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l’air et le silence d’avant le monde d’après
3 avril 2020, par arnaud maïsetti3 avril 2020