18 décembre 2018
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_joie
Articles
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comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti -
Que ma joie demeure | « C’était une nuit extraordinaire »
13 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture de la joie | le début
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Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
18 novembre 2019, par arnaud maïsettiMarier réalisme et utopie
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William Blake | « Chanson pour rire »
2 août 2013, par arnaud maïsetti« Ah, ah, hi »
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Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
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Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti« Yes because he never did a thing »
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Que ma joie demeure | « la passion de l’inutile »
14 mars 2013, par arnaud maïsettitoujours au début, l’inutile (les oiseaux)
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« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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pulsations du pont (diastole / systole)
13 mars 2012, par arnaud maïsettiToujours cru que le pont était le centre de la ville. Où qu’on soit, sur un pont, on est au centre de la ville : en son plein cœur. Alors les pulsations, je les ai vues, ce soir-là, comme une lente respiration qui projetait depuis ce centre les inflexions nerveuses, les flux de vie qui dilatent. À chaque diastole, une couleur ; à chaque systole, une autre. De lueurs en lueurs, voir comment se diffuse la ville par la ville. Se pencher pour boire son reflet : ce sont des tours de lumières avec des (...)
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l’ombre de moi-même
21 mars 2012, par arnaud maïsettivoir, partout où le refus de vivre est inutile, où commencer à marcher, et marcher ; considérer la ville comme ma seconde nature à l’herbe coupée haute dans la gorge où crier ; oh n’être que l’ombre de moi-même, allongée au soleil découpée à la hache par les immeubles là-haut, et sauter par-dessus elle comme à colin-maillard, ou saute moutons je ne sais plus, épervier, tous ces jeux d’enfants cruels et sublimes, je les suis,
oh n’être que l’ombre de moi-même pour dresser sur ma vie ce miroir sans reflet (...)