Places Where the Night Is Long (The Apartments, ’The Drift’ (1993)
O gioia, gioia, gioia… C’era ancora gioia in quest’assurda notte preparata per noi ?
Ô joie, joie, joie… Y avait-il encore de la joie dans cette absurde nuit préparée pour nous ?
Pier Paolo Pasolini, ’Splendeur’ (Seconde forme de "La Meilleure Jeunesse")
Il n’y a pas de vide — juste un peu de distance entre deux corps : seulement un peu de distance, et il suffirait de se pencher, tendre le bras, à peine tendre le bras et parler : (...)
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_corps
Articles
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géométrie du vide
22 septembre 2010, par arnaud maïsetti -
Bruno Dumont | Hadewijch
15 mars 2010, par arnaud maïsetti"corps rayonnant"
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Saint-Thomas
5 avril 2010, par arnaud maïsettiDes murs, je traque les visages, les peaux mortes, les mouvements de sédimentation des villes — les expressions possibles d’une durée arrêtée ; et plus loin, emmenée.
Comme des entrailles, ces murs ouverts : j’ai le geste de Thomas — fouiller la plaie avec mes doigts, toucher la preuve de la vie après la mort : vérifier, de mes yeux vérifier : demeures saignantes des projets arrêtés.
Murs aux multiples épaisseurs : de la peau rongée jusqu’aux nerfs, grattée à l’os quand la douleur est trop forte pour (...) -
corps dévisagés
13 septembre 2010, par arnaud maïsetti14 photographies de statues (Collégiale Saint-Martin-de-Candes)
sept. 10 -
Lecture | Autour de ce que nous sommes
27 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture au Salon du Livre | 25 mars 2013
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éperdument
14 septembre 2011, par arnaud maïsettile rêve de demain est une joie, disais-tu dans ton souffle perdu, mais la joie de demain en est une autre, ajoutais-tu dans le souffle suivant, et au mouvement de tes cheveux, j’ai deviné la suite, qui disait avec toi : rien heureusement ne ressemble au rêve qu’on s’en était fait ; car c’est différemment que vaut chaque chose — oui, alors il n’y aurait qu’à oublier, chaque jour, le jour suivant, pour n’accepter que le présent simplement parce qu’on l’aurait attendu comme la fin du monde, puisque la fin (...)
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Écriture (numérique) du corps
17 février 2010, par arnaud maïsettiÉcrire sur ordinateur ; enjeux, fins, et expériences
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Les villes qui n’existent pas | Paris, rue Beauregard
28 décembre 2018, par arnaud maïsettisous la ville, la ville
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Théâtre | Les Filles perdues [Prologue]
29 mars 2015, par arnaud maïsettiprendre la parole à l’histoire
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Écrire à la main
19 août 2013, par arnaud maïsettiNotes (évolutives) sur l’écriture écran.
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La Ville écrite | les gestes parlent
23 février 2012, par arnaud maïsettioui mais avec quels mots
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2011 | création littéraire : projet
27 janvier 2011, par arnaud maïsettiCours L3 2011
le projet Eldoradio -
La Chute des corps #5
28 novembre 2008, par arnaud maïsettiNous étions devenus / Une part de cette chute
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Saint-Just, une performance | retour de lecture
29 mars 2014, par arnaud maïsettisauter dans le vide
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ThTr | Balivernes Hivernales, de JY
8 janvier 2016, par arnaud maïsettitroisième texte,
hiver 2015 -
D’un Pays Lointain | Une fiction radiophonique
Atelier d’écriture Paris 7
6 avril 2011, par arnaud maïsettiLa lecture aura lieu demain — à partir de midi, dans la salle d’art de Bétonsalon, à Paris 7 (métro BNF). Ce soir, les textes sont prêts, l’installation vidéo réalisée ; dans la salle, les sièges et les tables vides, les pages sur le sol posées. Il resterait à lire. Il resterait cela. Je mets ici l’ensemble des textes qui composeront la lecture de la fiction. Pays LointainPubliez sur Calaméo ou explorez la bibliothèque. Désormais nous parlons, nous échangeons des idées. Un lien s’est créé. De (...)
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imagine (marcher, la nuit roule dans mes yeux)
11 juillet 2012, par arnaud maïsettiAllons ! La marche, le fardeau, le désert, l’ennui et la colère.
Rimb. Une Saison en enfer
Oui, allons, marcher sur les mots de la ville comme des armées marchent sur une ville, et comme moi je m’arrête un peu, là, sur cet endroit de la page où je m’effondre ; non, ce soir, je n’irai pas plus loin : ce soir, je m’arrête sur la liste des prières de l’Islam, comme c’est étrange (et essentiel, évidemment) : je rêve sur leur nom moi aussi, mais je ne comprends pas le sens de cette Liturgie ; demain, (...) -
instamment, les guérisons (et la vie en dépeupleur)
8 avril 2012, par arnaud maïsettiElle, assise au milieu de cinq ou six autres, les uns à côté des autres, attendent, et l’un après l’autre, on dit leur nom, ils se lèvent, s’éloignent (depuis combien de temps ne suis-je pas allé chez le médecin ?). Elle est la seule à parler, je la vois bien, de là où je suis, qu’elle dit les mots qu’il faut, qui sous l’anodin dévoile la blessure la plus inavouable, celle qu’elle vient exposer parce qu’elle est là maintenant, au milieu des autres. La vie est un dépeupleur et la salle se vide. La salle (...)
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Valparaiso (& Dominique A) | Marais Hautes
16 juin 2017, par arnaud maïsettiLe mot est une légende, une image
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Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue