écriture de l’image — cristallisation, condensation, circulations
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_Lautréamont
Articles
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2010 | Séance 4_Images
18 février 2010, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | le dialogue de l’arbre
15 mai 2017, par arnaud maïsettiCornouiller discute
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José Corti | l’esprit des lieux
26 décembre 2016, par arnaud maïsettifermer une librairie, vider les lieux
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La Pointe Rouge | la course furieuse des chevaux
18 avril 2019, par arnaud maïsettinu dans la mer
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Lautréamont | « Cette chevelure est sacrée »
26 juillet 2013, par arnaud maïsettiô voyageur égaré
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Nuage | le texte est une image de mots
22 juin 2017, par arnaud maïsettila forme des nuages
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La ville écrite | je veux rencontrer quelqu’un
8 janvier 2019, par arnaud maïsettije vis ici
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est serment
15 décembre 2018, par arnaud maïsetti15 décembre 2018
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tenir le fil
22 mai 2019, par arnaud maïsetti22 mai 2019
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les lignes configuratives (l’interruption sur la main)
12 juin 2013, par arnaud maïsettiDepuis ce temps, ô déesses rivales, je ne vous ai pas abandonnées. Depuis ce temps, que de projets énergiques, que de sympathies, que je croyais avoir gravées sur les pages de mon coeur, comme sur du marbre, n’ont-elles pas effacé lentement, de ma raison désabusée, leurs lignes configuratives, comme l’aube naissante efface les ombres de la nuit ! Depuis ce temps, j’ai vu la mort, dans l’intention, visible à l’oeil nu, de peupler les tombeaux, ravager les champs de bataille, engraissés par le (…)
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sur la ligne de crête
5 octobre 2018, par arnaud maïsetti5 octobre 2018
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sous les drapeaux
1er septembre 2018, par arnaud maïsetti1er septembre
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qu’ai-je fait de la lumière (comme d’un voile)
5 novembre 2013, par arnaud maïsettiLa perception ne transmet à mon ouïe qu’une impression d’une douceur à fondre les nerfs et la pensée ; un assoupissement ineffable enveloppe de ses pavots magiques, comme d’un voile qui tamise la lumière du jour, la puissance active de mes sens et les forces vivaces de mon imagination.
Lautréamont
Seulement la place de laisser passer la lumière. Comme dans le corps. Le matin, c’est un cri dehors, je me réveille, est-ce à cause du cri ou parce qu’il n’existe plus – quelque chose passe, (…) -
comment respirer
30 mai 2020, par arnaud maïsetti30 mai 2020
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Il n’y pas si longtemps que j’ai revu la mer et foulé le pont des vaisseaux
31 janvier 2011, par arnaud maïsettiI Swam out to Sea - Return (Max Richter, ’Waltz With Bashir (BO), 2008) Alors les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches ; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons, la perte, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s’en aperçoivent pas.
De ce qui vient et revient à même hauteur, du jour, cette lumière qui passe la fenêtre pour me montrer mes mains tapant à la surface des touches ce qui saurait dire la (…) -
puisque beaucoup de choses nous affligent
2 février 2017, par arnaud maïsetti2 février 2017
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La Ville écrite | il n’y a point d’interrogation
18 juin 2017, par arnaud maïsettidans tous les sens littéralement
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sans être là
30 novembre 2018, par arnaud maïsetti30 novembre 2018
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dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
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les mille rapides ornières de la route humide
3 décembre 2011, par arnaud maïsettiJe jetai, par dessus le parapet, le canif qui m’avait servi à graver les lettres ; et, faisant quelques rapides réflexions sur le caractère du Créateur en enfance, qui devait encore, hélas ! pendant bien de temps, faire souffrir l’humanité (l’éternité est longue), soit par les cruautés exercées, soit par le spectacle ignoble des chancres qu’occasionne un grand vice, je fermai les yeux, comme un homme ivre, à la pensée d’avoir un tel être pour ennemi, et je repris, avec tristesse, mon chemin, (…)