Entretien avec Jacques Lemire
Accueil > Mots-clés > _Auteurs > _Bernard-Marie Koltès
_Bernard-Marie Koltès
Articles
-
Koltès | 1981, un entretien – écrire ou l’œuvre de mort
31 mai 2018, par arnaud maïsetti -
Koltès | le théâtre et le corps de notre temps
16 mars 2010, par arnaud maïsettiNotes sur le corps sur scène – mars 2010
-
anticipation #38 | tout le reste
2 février 2010, par arnaud maïsettiÀ propos de ces fameux trois milliards d’êtres humains, dont on fait une montagne : j’ai calculé, moi, qu’en les logeant tous dans des maisons de quarante étages — dont l’architecture resterait à définir mais quarante étages et pas un de plus, cela ne fait même pas la tour Montparnasse, monsieur — , dans des appartements de surface moyenne, mes calculs sont raisonnables : que ces maisons constituent une ville, je dis bien : une seule, dont les rues auraient dix mètres de large, ce qui est tout à fait (...)
-
Koltès | Au nom de mama
14 juin 2014, par arnaud maïsettiArticle paru dans Bernard-Marie Koltès, les registres d’un style, paru aux Editions Universitaires de Dijon, sous la direction d’André Petitjean – juin 2014
-
fatigues
17 juin 2010, par arnaud maïsettiTired Young Man (syd Matters, "A Whisper And A Sigh" 2004)
For love my life has got no space Forgive a tired young man Routes qui s’ouvrent : les prendre toutes. Dans la vacance offerte des jours sans terme, prolonger les chantiers, multiplier les projets, les lectures, agrandir de tout son corps l’état des lieux du réel ; ne pas s’en tenir à la fatigue : jusqu’à épuisement du dossier.
Depuis janvier, pari pris et tenu : ne pas entrer dans une librairie sans en sortir avec un livre de poésie. (...) -
Home | « Et n’importe où maintenant »
17 novembre 2010« J’ai longtemps cherché à ressentir cette émotion
-
Koltès | la fête des morts
15 avril 2017, par arnaud maïsetti28 ans après
-
Koltès | « personne ne saura jamais qui a aimé qui »
21 septembre 2011La Nuit juste avant les forêts : Mama, la fille sur le pont
« moi je ne peux parler que sur les ponts ou les berges, et je ne peux aimer que là, ailleurs je suis comme morte, » -
la chambre de vision
1er décembre 2010, par arnaud maïsettiColors And The Kids (Cat Power, ’Moon Pix’, 1998)
De N...
... On n’a plus le droit de voir hors de la chambre de vision. Vous comprenez, il y avait trop de monde dehors. Comment les surveiller ? Ils allaient partout. Il devenait pratiquement impossible de les tenir et puis, forcément, ils recevaient par les spectacles de la rue et de partout des impressions diverses. Alors ? L’Unité d’un peuple, nous n’allions quand même pas la laisser partir en miettes... Henri Michaux (Face aux verrous, ’XI. (...) -
Le Client #18 (et fin) | « Alors, »
17 août 2013arme
-
2010 | Séance 3_Monologues
12 février 2010, par arnaud maïsettiMonologues, monologues intérieurs — récits de pensées et temps mental.
-
Yann-Joël Collin | La vie en face
15 juillet 2017, par arnaud maïsettiRoberto Zucco de B.-M. Koltès et Prologue sur le théâtre de D.-G. Gabily, mis en scène par Yann-Joël Collin [Avignon In, Gymnase du Lycée St Joseph] – juillet 2017
-
La Compagnie des Œuvres, sur France Culture | Semaine Koltès
20 janvier 2020, par arnaud maïsettiLire et relire Koltès
-
Koltès | l’autre part de sa vie
2 mai 2009, par arnaud maïsettiLecture des correspondances de Koltès – mai 2009
-
Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
13 août 2013et qu’il obtiendra finalement
-
Galerie Mazarine et labyrinthes
24 mai 2015, par arnaud maïsettiEt leurs caboches vont dans des roulis d’amour.
Rimb.
Il faut entrer par une petite porte, ouvrir son sac, prouver qu’on n’est pas là pour déposer une bombe. Passer un sas, un autre, montrer à chaque fois une carte, une autre. Justifier ce qu’on fait là. On passe finalement. Les bâtiments en pierre rendus invisibles par des algecos provisoires, mais là depuis toujours ; la rumeur des travaux (le chantier est partout, invisible et lointain) ; les corps allongés, cigarette café téléphone, respirent. (...) -
où vont les courses folles (malédictions du soleil)
9 août 2012, par arnaud maïsettiDithyrambe au soleil (Bertrand Cantat, ’Chœurs’, 2011)
Voir Tout espoir Honte à boire Cendre noire Comme elles disent Le jour tombe Sûr Nulle armure Aux blessures Aux crocs des chiens Comme elles disent La nuit vient Rhizomes des amours noires Des glorieux étendards Flac flac Le vent raffole Les places maudites de la BNF — on en a fait une liste, elle circule, la voilà. Ces places sont celles exposées au soleil : frappées par le soleil, dit le mot que j’ai lu ce matin. Ainsi là-bas le soleil est-il (...) -
Le Client #10 | « Nous ne sommes pas, vous et moi, perdus seuls au milieu des champs. »
7 août 2013, par arnaud maïsetticette dignité-là
-
Home | « L’avantage provisoire du mot frère »
17 novembre 2010« l’irréversibilité et le sang »
-
silhouettes creusées à la surface de soi
6 novembre 2017, par arnaud maïsetti6 novembre 2017